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3 raisons de ne pas succomber à la gestion locative low cost

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Attirer une plus grosse volumétrie de clients en contrepartie de prix affichés plus bas… Si la guerre des prix n’a pas épargné le secteur de l’immobilier, les professionnels de la gestion locative tentés par le low cost auraient plus à perdre qu’à gagner… Les bonnes raisons de résister avec Fabrice Houlé, directeur de Ma Gestion Locative, centre national de gestion locative

3 raisons de ne pas succomber à la gestion locative low cost
3 raisons de ne pas succomber à la gestion locative low cost

1. Une expertise qui ne se brade pas ! 

« La gestion locative est un métier de services qui exige son lot de compétences », rappelle Fabrice Houlé. N’est pas administrateur qui veut ! Rigueur, maîtrise du secteur, sens de l’organisation et des priorités, disponibilité, capacité d’écoute et de dialogue, altruisme… autant de qualités dont doit disposer un bon professionnel de l’immobilier. « L’administrateur de bien endosse le rôle de véritable acteur du logement dans sa ville », ajoute-t-il. Autant de qualités qui ne peuvent se brader et qui seront répercutées dans la rémunération du professionnel. Avec de l’expérience, un gestionnaire locatif peut ainsi prétendre entre 35 000 et 45 000 euros de salaire brut annuel. 

2. Tarifs low cost = services low cost

Les clients attendent aujourd’hui plus que jamais de l’écoute et de la réactivité. Exit les messageries de répondeurs à longueur de journée, les cabinets fermés le matin pour gérer les dossiers… La digitalisation de nombreuses tâches administratives et comptables permet aujourd’hui aux professionnels de consacrer plus de temps à l’accompagnement et au conseil de leurs clients bailleurs et locataires. S’il existe aujourd’hui des sociétés, le plus souvent uniquement présentes sur Internet, proposant de la gestion locative à bas coûts, quel niveau de services sont-elles réellement à même de proposer ? « Des sociétés ne publiant pas leur compte, car souvent déficitaires, peuvent-elles réellement protéger l’intérêt des clients et assurer de bons services dans la durée ? », s’interroge le directeur de Ma Gestion Locative qui a encaissé plus de 26 millions d’euros de loyer en 2017.

3. La valeur du fonds de commerce liée au chiffre d’affaires

Un agent immobilier construit au fil des années la valeur de son fonds de commerce. « C’est en effet, sur le chiffre d’affaires hors taxe annuel récurrent que sera déterminée la valeur de son fonds de commerce pour cette activité, soit environ 2,5 fois le chiffre d’affaires HT annuel moyen des 3 dernières années », précise le directeur de Ma Gestion Locative. Ainsi, en proposant des taux low cost, l’agent immobilier apporte non seulement un service bas de gamme à ses clients, mais il sacrifie également dans le futur le prix de revente de son portefeuille. Le jeu en vaut-il la chandelle ?

A propos de Ma Gestion Locative

Ma Gestion Locative externalise la gestion locative de 600 agences immobilières en France et s’attache chaque jour à les conseiller pour développer au mieux leur propre portefeuille de gestion. L’ADN de l’entreprise est de faciliter le quotidien de ses agences partenaires et de leurs clients. 

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