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3 min avec Michel Le Bras, Propriétés Privées

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Fort d’un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros en 2016, Propriétés Privées a toujours occupé une place de choix sur le marché parfois controversé des réseaux de mandataires. Une longueur d’avance qu’il n’est pas prêt de céder, au regard des nouveaux services et outils que le groupe nantais, membre de la FNAIM, souhaite lancer en 2017

Lorsqu’en 2006, Sylvain Casters, ancien dirigeant de Propriétés Privées, a lancé un réseau d’agences immobilières en ligne, il a essuyé plusieurs critiques. Plus de 10 ans après, on constate qu’il faisait plutôt figure de précurseur. Depuis quelques années, les réseaux de mandataires se multiplient, avec plus ou moins de succès. Si le groupe Propriétés Privées réussit à perdurer sur ce marché devenu concurrentiel, c’est en partie grâce à l’image de rigueur qu’il reflète. Et qu’il aime entretenir, à coup de campagnes de communication, très nombreuses depuis 2014, où il a opéré un rebranding.

Cette recette semble efficace. Le réseau, qui est le seul mandataire à être partenaire de la FNAIM, dénombre désormais 650 négociateurs en France. Chaque année, ses revenus augmentent de 20 à 30 %. Des résultats pérennes qui lui ont valu d’être racheté par Pragma Capital en mai 2016. Grâce à ce rapprochement, le réseau multiplie les services à destination de ses clients. En 2017, en plus de dématérialiser le compromis de vente et de proposer un systèmes d’enchères d’offres, Propriétés Privées accélèrera sur les segments du prestige, de l’immobilier d’entreprises et du neuf.

Comment le groupe Propriétés Privées progresse-t-il ? Quels poids donne-t-il à la formation de ses mandataires ? Quels seront ses chantiers prioritaires en 2017 ? Quels nouveaux services le réseau lancera-t-il ces prochaines semaines ? Les réponses, en images, avec Michel Le Bras, président de Propriétés Privées, qui a pris le relai de Sylvain Casters en juin 2016.

Aurélie Tachot