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Paroles de franchisé : « Nous avons réalisé dès la première année le chiffre d’affaires prévu en année deux sur notre business plan », Michaël Niddam, Guy Hoquet

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Après plus de 15 ans dans le secteur de l’hôtellerie de luxe, Michaël Niddam, 37 ans, souhaite donner une nouvelle impulsion à sa carrière professionnelle. Son choix se porte rapidement sur l’immobilier et le réseau Guy Hoquet. Témoignage sur une aventure qui a démarré sur les chapeaux de roue

Paroles de franchisé : "Nous avons réalisé dès la première année le chiffre d’affaires prévu en anné - © D.R.
Paroles de franchisé : "Nous avons réalisé dès la première année le chiffre d’affaires prévu en anné - © D.R.

« Après plus de 15 ans en tant que directeur commercial dans l’hôtellerie de luxe, je ressentais une certaine lassitude et j’ai eu envie de relever de nouveaux challenges et de vivre de nouvelles expériences », explique Michaël Niddam. Ce dernier trouve dans l’immobilier de quoi nourrir ses nouvelles appétences : « Nous sommes au quotidien dans une démarche de vente avec pour mission de convaincre non seulement les futurs acquéreurs, mais aussi les vendeurs », souligne-t-il. 

Les forces d’un réseau

Le 24 octobre 2014, Michaël Niddam et son associé, un ami d’enfance, reprennent l’agence Guy Hoquet de Villiers-sur-Marne. « Comme il s’agissait pour nous d’une reconversion et qui plus est dans une profession très réglementée, il nous a semblé essentiel d’être encadré et de pouvoir nous appuyer sur les forces d’un réseau avec un service juridique et marketing », met en avant Michaël Niddam. Et d’ajouter : « Un indépendant ne pourra jamais démarrer de la même manière qu’un franchisé qui est associé à une marque. » Après avoir fait le tour des différentes enseignes, les deux amis d’enfance sont très vite séduits par le réseau Guy Hoquet : « Nous nous sommes reconnus dans les valeurs portées par ce réseau qui s’engage véritablement auprès de ses clients, et qui laisse également un certain espace de liberté à ses franchisés. » Si ces derniers doivent respecter la chartre graphique du réseau, ils ont également la possibilité de conserver une réelle liberté d’action et une identité propre, d’aménager et de personnaliser leurs agences comme ils le souhaitent. Autre critère déterminant pour Michaël Niddam : « En signant chez Guy Hoquet, j’avais l’assurance que contractuellement aucune autre agence du réseau ne pourrait ouvrir sur les communes de Villiers-sur-Marne et du Pléssis-Trévise. » Enfin, l’agence bénéficie des nombreuses opérations de communication de la marque, d’un back office particulièrement performant, mais aussi de tout un panel de formations mises à disposition des membres du réseau afin de monter régulièrement en compétences. 

Un premier bilan réussi

Mises à part les premières démarches auprès des banques, Michaël Niddam ne connaît guère de difficultés en ouvrant son agence. « Grâce à Guy Hoquet, j’ai bénéficié d’une formation de 3 mois qui m’a permis de balayer l’ensemble des techniques de vente, le juridique, le back office et le fonctionnement de l’agence, mais aussi de l’accompagnement d’un consultant pendant toute la phase de lancement. » Les affaires ont ainsi démarré sur les chapeaux de roue, puisque la première vente a été signée deux semaines après l’ouverture. Un an et demi après le début de cette nouvelle aventure professionnelle, le bilan est aujourd’hui très positif : « Nous avons réalisé dès la première année le chiffre d’affaires prévu en année deux sur notre business plan », se réjouit Michaël Niddam qui a déjà de nouveaux projets en perspective : « Nous envisageons désormais d’ouvrir un deuxième point de vente sur la commune du Pléssis-Trévise afin de continuer à développer la gestion locative, qui représente pour nous un véritable axe stratégique puisque les lots que nous gérons nous permettent de nous assurer une base en termes de chiffre d’affaires mensuel », conclut-il.

Stéphanie Marpinard