Professionnels de l’immobilier : l’heure est à la digitalisation !
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Quiconque a loué, acheté, ou vendu un bien immobilier a connu, récemment encore, les affres des dizaines de documents papiers à remplir, parapher et signer en double exemplaires. Mais cette ère touche peut-être à sa fin
La plupart des processus de transactions et de gestion immobilière sont désormais dématérialisables et contractualisables grâce à la signature électronique. Source d’économies et de gains de productivité, la numérisation des processus représente un facteur différenciant pour les professionnels de l’immobilier.
Parti tôt dans sa transformation digitale, le secteur de l’immobilier a, dès 1996, ouvert ses premiers sites d’annonces immobilières. Ils se sont rapidement imposés comme premier outil de recherche de biens. Aussi, pour attirer toujours plus d’utilisateurs, ces sites ont développé pléthore de services : visite virtuelle, comparateurs de prix, historique de recherche…
La dématérialisation des processus de gestion des transactions immobilières s’est, en revanche, installée plus tardivement et n’impliquait à l’origine que certains documents : mandats, fiches descriptives, bons de visite, promesses ou compromis de vente. Les réticences à changer de méthodes de travail et les craintes des particuliers comme des professionnels à numériser toute trace de transaction d’un bien aussi précieux qu’une propriété, ont ralenti le développement de la digitalisation de l’ensemble des processus et documents.
Des lois favorisent la dématérialisation des procédures
Aujourd’hui, sous l’impulsion du législateur, le secteur de l’immobilier est en pleine mutation. En 2014, la loi ALUR - relative à l’accès au logement et urbanisme rénové - autorise les agents immobiliers et administrateurs de biens à recourir au numérique pour certaines opérations : obligation d’information des acquéreurs de lots de copropriété, possibilité de convoquer une assemblée générale de copropriété par email, obligation de proposer aux copropriétés un extranet de liaison entre le syndic et les copropriétaires.
En 2018, la loi Elan ajoute une nouvelle dimension numérique en appelant à « mettre les transitions énergétiques et numériques au service de l’habitant et de nouvelles solidarités entre les territoires et les générations » et en créant un cadre règlementaire favorable au développement d’un bail numérisé, dans un esprit semblable à celui de la règlementation eIDAS avec la signature électronique.
Les bénéfices du numérique sont nombreux
Encouragés par le législateur et les nouvelles générations de clients, les professionnels de l’immobilier se mettent enfin à digitaliser l’ensemble de leurs démarches : dossiers de candidature, états des lieux, contrats de location, diagnostics obligatoires…
En reconnaissant la valeur probante de la signature électronique, le secteur de l‘immobilier devrait connaître, dans les mois à venir une accélération de sa transformation digitale. D’autant que les bénéfices sont nombreux. Une récente étude Forrester Research, commissionnée par DocuSign, démontre l’impact économique de la signature électronique : 2,20h de gains de productivité, 13,5 jours de réduction des délais de signature, 31€ d’économie par document…
La dématérialisation est aussi un moyen plus sûr de conservation des documents (stockage dupliqué dans des datacenters) et d’archivage. En matière de sécurité, le document numérique ne s’altère pas, ne se perd pas. C’est aussi un moyen d’accéder à l’ensemble des dossiers depuis n’importe où, à tout moment et depuis n’importe quel terminal. Enfin, la dématérialisation décharge les professionnels de tâches administratives sans valeur ajoutée, leur permettant ainsi de concentrer sur leur cœur de métier.
Les économies d’échelle et les gains de productivité à attendre du numérique, et en particulier de la signature électronique, sont donc réels et considérables. L’heure est à la digitalisation pour tous les professionnels de l’immobilier !