« Fort de 720 agences en France, Laforêt reste une franchise à taille humaine »

Pouvez-vous vous présenter ?

Après avoir décroché un BTS Professions immobilières en alternance, je suis restée six mois chez mon patron. Puis j’ai décidé de me lancer dans l’aventure entrepreneuriale. J’ai créé mon agence immobilière à 23 ans en tant qu’indépendante et j’ai rejoint le réseau Laforêt par la suite.

Qu’est-ce qui vous a motivé à passer du statut d’agence immobilière indépendante à agence immobilière franchisée ?

J’étais arrivée un peu au bout de ce que je pouvais faire seule à mon niveau et je me suis interrogée sur l’opportunité de rejoindre un réseau. Je me suis renseignée et les développeurs de Laforêt ont poussé ma porte au bon moment et m’ont rapidement convaincue.

Malgré ses 720 agences en France, Laforêt reste une franchise à taille humaine où nos interlocuteurs nous connaissent quand nous avons besoin de quelque chose. L’approche client correspondait, également, tout à fait à ce que je voulais.

Votre entrée dans le réseau est assez récente puisqu’elle date de 2023. Qu’avez-vous eu le temps de mettre en place ?

La première chose que j’ai mise en place a déjà été le recrutement de nouveaux négociateurs et d’alternants. J’ai également développé la gestion locative au bout de six mois. Je gère aujourd’hui une centaine de lots.

Nous avons beaucoup d’investisseurs sur Saint-Étienne. Les clients qui nous achètent des appartements nous confient la gestion locative, comme cela ils ont un circuit fermé sur tous les métiers.

Ce sont mes alternants en BTS Professions immobilières et BTS Négociation et digitalisation de la relation client qui s’occupent de la location et de trouver de nouveaux lots.

A chaque location « sèche », parviennent-ils à proposer un mandat de gestion ?

Oui, quasiment de manière automatique. Les clients ne sont pas de la région donc ils ne souhaitent pas s’en occuper. Ce sont des investisseurs, donc clairement ils ont un business plan au départ. Ils nous demandent les montants des honoraires location et gestion, et ils choisissent le pack en fonction.

Vos deux étudiants arrivent prochainement au terme de leur alternance, comptez-vous les embaucher ?

Ils ne savent pas encore s’ils continuent sur un Master ou s’ils intègrent le marché du travail. C’est encore en discussion. En tout cas, ils souhaitent rester avec moi. Et de mon côté, j’aimerais bien les garder.

Au niveau des outils, est-ce que l’appui du réseau sur le marketing ou sur le juridique vous a permis de vous concentrer davantage sur le business ?

Oui, c’est un gain de temps qui est énorme. On ne s’en rend pas vraiment compte quand on est franchisé dès le départ.

Moi qui ai connu le côté indépendant où il fallait se renseigner sur la partie juridique, mettre les documents à jour, mettre des choses en place, alors que tout avait changé entretemps, je vois vraiment la différence.

Aujourd’hui, il me suffit d’ouvrir l’intranet Laforêt pour avoir accès à toutes les actus ou d’appeler le service juridique lorsque j’ai une question. Tout est désormais beaucoup plus fluide.

Est-ce que vous envisagez dans le futur de continuer à vous développer et d’ouvrir une seconde agence ?

Oui, c’est un souhait. Dans le contexte actuel, je veux déjà stabiliser ma première agence, mais par la suite je compte ouvrir effectivement d’autres points de vente.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans le réseau Laforêt ?

L’échange que l’on peut avoir avec nos collègues. La vie du réseau est très animée et tient une place importante dans un contexte qui reste difficile. Il n’existe aucun tabou entre nous et nous sommes là pour nous entraider.

Que pourriez-vous conseiller à des personnes qui, comme vous, sont des agents immobiliers indépendants et se posent des questions à rejoindre une marque ?

N’hésitez pas, avancez et faites confiance au réseau Laforêt.