Diggloo, l’expert DTG des copropriétés

Rencontre avec Olivier Ducelier, son fondateur.

Quelle est la particularité de Diggloo sur le marché ?

Pour la première fois, une équipe pluridisciplinaire et un réseau de partenaires certifiés (ingénieurs, économistes du bâtiment, avocats, thermiciens, géomètres…) propose une offre globale autour du Diagnostic Technique Global, devenu obligatoire le 1^er janvier 2017. Nous allons aussi être les premiers à systématiser l’utilisation du drone, à partir de l’année prochaine. C’est un outil de travail exceptionnel, qui peut donner une idée sur d’éventuels travaux à venir, par exemple sur des toitures qui ne sont pas visitables. Nous essayons de proposer une multitude de services. Notre but est d’aider nos clients du mieux possible, pas uniquement dans notre univers. Notre cœur de métier est le DTG, mais nous ne nous arrêtons pas là : on nous appelle aussi simplement pour des conseils, et nous pouvons alors mettre en relation le demandeur avec des partenaires que nous avons sélectionnés. Nos prestations sont à destination de tous les acteurs de la copropriété : notaires, syndics, administrateurs de bien et réseaux immobiliers…

Qu’en est-il de la rénovation énergétique ?

C’est une problématique que nous avons totalement intégrée. Certaines copropriétés continuent de faire des travaux sans se préoccuper de la rénovation énergétique. On voit parfois des ravalements de façade en plein Paris qui coûtent une fortune mais ne changent rien à part le côté esthétique. Or, faire de la rénovation énergétique est intéressant à plusieurs niveaux, cela permet notamment de bénéficier d’aides de l’Etat. Il s’agit de démarches sur lesquelles nous pouvons d’ailleurs accompagner nos clients. La France est leader dans ce domaine, très au fait des nouvelles technologies, et il y a une véritable volonté politique d’aider au développement d’entreprises capables produire de nouveaux matériaux.

Avez-vous des projets pour les mois à venir ?

Notre nouveau site doit voir le jour début janvier. Nous profitons des fêtes de fin d’année, quand l’économie dans le domaine tourne au ralenti, pour y travailler. Nous avions un premier jet, aujourd’hui nous comptons l’étoffer avec beaucoup plus d’informations à la rentrée ainsi que des chroniques exclusives de contributeurs professionnels afin de proposer davantage d’interactivité. Nous avons aussi signé plusieurs partenariats dont nous ne pourrons parler qu’à partir du 1^er janvier. Enfin, nous comptons étendre notre maillage national, car nous recevons régulièrement des demandes sur la France entière. Pour accompagner notre développement, nous pensons recruter une trentaine de personnes au minimum l’année prochaine.

Séverine Dégallaix