« L’objectif du Congrès FNAIM 2020 : délivrer un message d’optimisme au secteur immobilier »
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A vos agendas ! La 74e édition du Congrès FNAIM et Salon des Professionnels de l’immobilier se déroulera cette année encore dans le cadre prestigieux du Carrousel du Louvre. Organisé les 23 et 24 novembre, ce nouvel opus, dont les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes, sera placé sous l’angle de l’éco-responsabilité. Les enjeux et temps forts de l’évènement avec Jean-Marc Torrollion, président de la FNAIM.
Comment se présente cette nouvelle édition du Congrès FNAIM et Salon des Professionnels de l’immobilier ?
L’édition 2020 se déroulera dans un contexte sanitaire et économique particulier, et elle sera vraisemblablement le plus important rendez-vous immobilier de l’année. Nous sommes aujourd’hui confortés dans notre choix de maintenir cet évènement puisque l’ensemble de nos partenaires ont répondu présent et nous aurons, cette année encore, un panel d’exposants extrêmement riche et particulièrement varié pour répondre aux aspirations de nos chefs d’entreprise. 120 fournisseurs de services sont ainsi attendus pour faire valoir leur expertise et savoir-faire sur tous les métiers de l’immobilier.
Quels seront les temps forts de l’évènement ?
Comme chaque année, les deux jours du Congrès seront rythmés par des conférences, des débats et une trentaine de workshops. Cette édition sera, entre autres, marquée par la présence d’Emmanuelle Wargon, ministre déléguée chargée du Logement, qui nous a confirmé sa présence dès sa nomination, et l’organisation de tables rondes avec des personnalités politiques de premier plan, des figures de l’écologie telles qu’Isabelle Autissier ou encore des entrepreneurs. Ce congrès sera à la fois un lieu d’effervescence intellectuelle, mais aussi de solutions opérationnelles.
Pourquoi avoir choisi de placer cette nouvelle édition sous le signe de « l’éco-responsabilité et des entreprises de demain » ?
Même si la thématique avait déjà été choisie en février dernier lors d’un séminaire du conseil d’administration de la Fédération à Bruxelles, force est de constater qu’elle s’inscrit remarquablement bien dans l’actualité du moment. C’est une preuve que la Fédération nationale de l’immobilier est en phase avec l’intérêt général du secteur et les aspirations de nos concitoyens. Il existe aujourd’hui une nouvelle façon de consommer l’immobilier et il est essentiel de ne pas négliger l’importance de la responsabilité sociale et environnementale des agents immobiliers, mais aussi des administrateurs de biens et des syndics.
Quels sont les enjeux de ce Congrès ?
Il existe bien entendu un enjeu sanitaire que nous sommes aujourd’hui prêts à relever. Nous aurons de ce point de vue, un haut degré d’exigence en termes de sécurité sanitaire avec notamment des espaces entièrement repensés et des équipements spécifiques proposés aux différents publics. Ce congrès est aussi un marqueur de la confiance des entrepreneurs de l’immobilier dans l’avenir. Nous allons nous retrouver après une période exceptionnelle d’éloignement et allons pouvoir échanger sur les enjeux futurs de notre profession. Nous assistons à une mutation accélérée de la relation client, mais aussi du rôle des agents immobiliers, des administrateurs de biens et des syndics qui ont aujourd’hui une responsabilité sociale, sociétale et environnementale. La crise sanitaire a en effet favorisé la signature électronique, la distanciation dans le contact client, la qualité des informations que nous délivrons avant d’enclencher la visite physique, les vidéos assemblées générales, le vote par procuration…
En tant que président, qu’attendez-vous de ce Congrès ?
Malgré la période particulière que nous vivons, j’espère bien entendu une fréquentation conséquente. Ce Congrès doit également être une démonstration de la dynamique de la Fédération nationale de l’immobilier dans la continuité de ce qu’elle a mis en exergue au cours de la crise de la Covid-19. Tout le monde s’accorde aujourd’hui à dire que la FNAIM a été le syndicat du secteur immobilier qui a été le plus efficace pour gérer la crise auprès de ses adhérents. J’attends également le positionnement de la ministre sur un certain nombre de sujets et un soutien global à l’action de la Fédération et à tous ses enjeux politiques et économiques. L’objectif de ces 2 jours est de délivrer un message d’optimisme à l’ensemble des acteurs du monde immobilier. Nous croyons en un bel avenir du secteur et nous sommes prêts à affronter les difficultés du moment. Nous nous inscrivons, de ce point de vue, dans l’intérêt général du pays qui est de poursuivre l’activité économique, de continuer d’embaucher et de travailler aux bénéfices de nos clients.
Attention, les informations de cet article sont susceptibles d’évoluer en fonction de l’actualité.