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3 min avec Philippe Buyens, Capifrance

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Capifrance veut se démarquer. Ces derniers mois, ce réseau a ainsi changé de logo et mis en ligne son nouveau site internet. Mais CapiFrance ne veut pas s’arrêter là. Quelles sont ses priorités pour 2016 ? Quelles sont ses principales spécificités ?  Les réponses en vidéo avec Philippe Buyens, directeur général de Capifrance

Capifrance ne s’endort pas sur ses lauriers. En 2015, ce réseau de mandataires, fondé à Montpellier en 2002, a réalisé 8 000 ventes et totalisé un chiffre d’affaires de 60 millions d’euros. Mais Capifrance veut accélérer sa croissance. Il vise les 2 500 mandataires d’ici 5 ans et les 100 millions d’euros de chiffre d’affaires. Pour y parvenir, Capifrance va se déployer sur tous les métiers de l’immobilier, de la transaction résidentielle bien sûr, son cœur de métier, à l’immobilier professionnel et  le neuf en passant par la gestion et le syndic.

Capifrance, filiale d’Artémis, la holding financière du groupe Pinault, veut aussi affirmer sa différence. L’objectif est clair : que les acheteurs et les vendeurs ne viennent plus chez Capifrance par hasard ! Pour y parvenir, ce réseau  va lancer rapidement de nombreuses innovations technologiques. Les premiers pas ont été faits en début d’année avec un nouveau logo, une nouvelle signature et un site web dernière génération.

Philippe Buyens, le directeur général de Capifrance, connaît parfaitement les rouages des réseaux immobiliers. Il a travaillé pendant plus de 14 ans au sein de Laforêt avant d’être le directeur du réseau de Guy Hoquet. Il revient pour nous sur le décret de formation continue obligatoire pour les professionnels de l’immobilier et nous donne en toute transparence  les objectifs chiffrés de Capifrance pour les prochaines années.

Laurent Pilliet