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« Nous donnons un coup de jeune à l’identité visuelle d’I@D »

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L’histoire d’I@D a débuté dans un garage en Seine-et-Marne… Dix ans après, le réseau de mandataires dénombre 6000 conseillers immobiliers en France. Soit l’équivalent du nombre de mandataires de ses trois concurrents Capifrance, Safti et d’OptimHome. Une fierté que le groupe a souhaité valoriser via une campagne de communication digitale, comme l’explique Roland Tripard, président du directoire d’I@D

« Nous donnons un coup de jeune à l’identité visuelle d’I@D » - © D.R.
« Nous donnons un coup de jeune à l’identité visuelle d’I@D » - © D.R.

Cette année, I@D fête son 10e anniversaire et s’offre un nouveau logo, un nouveau site et une nouvelle campagne de communication…

Oui, nous avons souhaité mettre un coup de jeune à notre identité visuelle ! Notre logo rappelle l’idée du cercle vertueux et des possibilités de développement infinies chez I@D. Notre campagne de communication digitale porte le même message : celui que le réseau offre l’opportunité aux gens de changer de vie. Nos spots vidéo et nos displays s’adressent à la fois au grand public et à nos futurs conseillers indépendants. Nous offrons à ces derniers la possibilité de rebondir professionnellement, de changer leur relation au travail, de jouir de davantage de flexibilité…

Quel bilan dressez-vous de ces 10 dernières années ?

Le réseau, qui a digitalisé l’agence immobilière, a fait son chemin de manière extraordinaire depuis 2008 ! Il dénombre aujourd’hui plus de 7000 conseillers, dont 6000 en France. Au cours de notre dernier exercice, qui va de juillet 2017 à juin 2018, nous devrions dépasser les 25 000 compromis de ventes signés. C’est la preuve que notre modèle est vertueux et fonctionne pour tout le monde : à la fois pour les clients, qui bénéficient d’un meilleur service à un coût plus juste, c’est-à-dire moins important, mais aussi pour nos conseillers, qui gagnent davantage d’argent.

Et pourtant, les critiques envers les réseaux de mandataires sont encore vives…

Comme tout modèle disruptif, le nôtre est confronté à une résistance ! Les débuts sont donc difficiles. Mais c’est un combat d’arrière garde qui ne nous empêche pas de grandir. Les réseaux traditionnels, qui sont restés campés sur leurs idées d’il y a 10 ans, sont derrière nous aujourd’hui. L’argument qu’ils assènent à notre égard et qui concerne la formation est faux. Nos conseillers sont bien formés. Nous nous assurons que nos cursus de formation soient mis à jour, que les points de passage des conseillers dans notre université soient réguliers et qu’ils se forment via du e-learning à haute dose !

Etre conseiller chez I@D, est-ce vraiment pérenne ?

Oui ! En un an, 2000 nouveaux mandataires nous ont rejoints. Si leur activité n’était pas pérenne, ils ne seraient pas si nombreux ! Nos conseillers gagnent bien leurs vies : ils réalisent un chiffre d’affaires compris entre 30 000 euros et 80 000 euros par an en moyenne, selon leur niveau de management qui va de conseiller à manager platinium (il y en a plus de 200 en France). Le taux de succès d’I@D, c’est-à-dire le pourcentage de personnes présentes un an après nous avoir rejoint, est en hausse : il est d’environ 60 % cette année.

La croissance du réseau est-elle toujours aussi vive ?

En deux ans, nous avons quasiment doublé notre chiffre d’affaires : il est passé de 76 millions d’euros à 150 millions aujourd’hui. En 2018, nos revenus sont en augmentation de plus de 30 %. Pour continuer à se développer, nous allons poursuivre nos investissements. Notre objectif est de dénombrer, en France, entre 12 000 et 15 000 conseillers, d’ici trois ans. Sur le volet international, nous sommes aussi en phase d’accélération. Nous avons débuté notre développement en Espagne et en Italie en mars. En Portugal, 700 conseillers nous ont déjà fait confiance.

Aurélie Tachot